Orchidee, mon Amour


Lorsque l’automne dernier tu fleurissais de ta derniere petale, je ne savais pas que l’hiver serait rigoureux.

Et quand il entra en notre demeure tu te recroquevillais pour disparaitre a nouveau. Ni les voyages, ni les paroles ne semblaient plus t’atteindre. Le froid, la vigueur de la vie parfois nous eloignait l’un l’autre. Tout meurt en hiver. N’est-ce pas le cycle necessaire. Se recroqueviller sur soi pour ensuite renaitre et briller.

Ainsi des les premiers jours du Printemps tu reparus tel le soleil vert de mes souvenirs. O singuliers souvenirs qui chaque jour me ramenent au fil  etrange de notre route.

Pourquoi en ce si beau printemps, sembles-tu absente ? 
Pourtant tu es plus belle que jamais!



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